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Canoe – Infos – Enquêtes: Pour 5 millions en fausses factures
Friday, November 11, 2011
Canoe – Infos – Enquêtes: Pour 5 millions en fausses factures
Canoe – Infos – Enquêtes: Pour 5 millions en fausses factures
Monday, October 03, 2011
Canoe – Infos – Enquêtes: Dépenses: on mange bien à Terrebonne
Agence QMI
Andrew McIntosh et Kinia Adamczyk
03/10/2011 04h30
MONTRÉAL - Quatorze gestionnaires de la Ville de Terrebonne ont dîné près de 1900 fois aux frais des contribuables depuis 2008, ce qui a entraîné une facture de près de 123 000 $ pour les contribuables de cette municipalité de la couronne nord.
Canoe – Infos – Enquêtes: Dépenses: on mange bien à Terrebonne
Andrew McIntosh et Kinia Adamczyk
03/10/2011 04h30
MONTRÉAL - Quatorze gestionnaires de la Ville de Terrebonne ont dîné près de 1900 fois aux frais des contribuables depuis 2008, ce qui a entraîné une facture de près de 123 000 $ pour les contribuables de cette municipalité de la couronne nord.
Canoe – Infos – Enquêtes: Dépenses: on mange bien à Terrebonne
Wednesday, September 21, 2011
Canoe – Infos – Enquêtes: Fausses factures : un pari parfois risqué
Même si le système de justice québécois n'est souvent pas assez sévère, la décision de recourir à la fraude au moyen de fausses factures peut s'avérer lourde de conséquences personnelles pour certains entrepreneurs... Lire l'histoire sur canoe.
Aussi: Comment contrer ce type de fraude?
Aussi: Comment contrer ce type de fraude?
Tuesday, September 20, 2011
Canoe – Infos – Enquêtes: Crime organisé et fausses factures: des millions perdus
Canoe – Infos – Enquêtes: Crime organisé et fausses factures: des millions perdus
Une enquête de Andrew McIntosh et Kinia Adamczyk, Agence QMI.
La Sûreté du Québec a dépensé 3,6 M$ pour enquêter sus des sociétés-écrans contrôlées par le crime organisé, qui auraient produit des fuasses factures pour le compte d'entreprises de construction totalisant 60 M$. Continuer à lire sur canoe
Une enquête de Andrew McIntosh et Kinia Adamczyk, Agence QMI.
La Sûreté du Québec a dépensé 3,6 M$ pour enquêter sus des sociétés-écrans contrôlées par le crime organisé, qui auraient produit des fuasses factures pour le compte d'entreprises de construction totalisant 60 M$. Continuer à lire sur canoe
Monday, September 12, 2011
Some airport screeners have sticky fingers, documents show
MONTREAL - The way Denis Bouffard remembers it, all he did was slip his hand into passengers' plastic bins at the airport security checkpoint where he worked and swipe a little spare change.
A uniformed airport security screening officer, Bouffard's job was to protect Canadian airline passengers from terrorists trying to sneak onto jets after the 9/11 attacks. Instead, Bouffard was robbing travellers.
A loonie here. A toonie there. Just enough, he later claimed, to buy a coffee during his breaks at Montreal's Trudeau International Airport.
But his uniformed colleagues told a different story, one Canadian authorities have never told the unsuspecting travelling public about.
Read Andrew McIntosh's and Kinia Adamczyk's full investigation at the Toronto Sun
Denis Bouffard a été embauché comme agent de sécurité à l'aéroport Montréal-Trudeau pour prévenir d'autres attentats terroristes après le 11 septembre. Mais, pendant des mois, il en a plutôt profiter pour faire les poches des passagers qu'il devait pourtant protéger.
Et il serait loin d'être le seul agent à s'être enrichi aux dépens des voyageurs dans les aéroports du pays, révèle une enquête exclusive de l'Agence QMI.
Quant à lui, M. Bouffard a avoué qu'il glissait parfois sa main dans les bacs où les passagers déposent leurs effets avant de passer le contrôle de sécurité pour y piquer de la monnaie. Seulement, selon lui, pour acheter un café pendant ses pauses.
Or, ses collègues ont conté une autre histoire, selon des documents obtenus par QMI. Sur une période de huit mois, des agents disent l'avoir observé -avec incrédulité et stupéfaction -diriger les gens vers le portique chargé de détecter le métal, puis se précipiter pour s'emparer de monnaie ou fouiller dans les portefeuilles.
Lisez l'enquête de Kinia Adamczyk et Andrew McIntosh sur canoe.ca
A uniformed airport security screening officer, Bouffard's job was to protect Canadian airline passengers from terrorists trying to sneak onto jets after the 9/11 attacks. Instead, Bouffard was robbing travellers.
A loonie here. A toonie there. Just enough, he later claimed, to buy a coffee during his breaks at Montreal's Trudeau International Airport.
But his uniformed colleagues told a different story, one Canadian authorities have never told the unsuspecting travelling public about.
Read Andrew McIntosh's and Kinia Adamczyk's full investigation at the Toronto Sun
Denis Bouffard a été embauché comme agent de sécurité à l'aéroport Montréal-Trudeau pour prévenir d'autres attentats terroristes après le 11 septembre. Mais, pendant des mois, il en a plutôt profiter pour faire les poches des passagers qu'il devait pourtant protéger.
Et il serait loin d'être le seul agent à s'être enrichi aux dépens des voyageurs dans les aéroports du pays, révèle une enquête exclusive de l'Agence QMI.
Quant à lui, M. Bouffard a avoué qu'il glissait parfois sa main dans les bacs où les passagers déposent leurs effets avant de passer le contrôle de sécurité pour y piquer de la monnaie. Seulement, selon lui, pour acheter un café pendant ses pauses.
Or, ses collègues ont conté une autre histoire, selon des documents obtenus par QMI. Sur une période de huit mois, des agents disent l'avoir observé -avec incrédulité et stupéfaction -diriger les gens vers le portique chargé de détecter le métal, puis se précipiter pour s'emparer de monnaie ou fouiller dans les portefeuilles.
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| Rares sont les passagers qui se doutent que leurs effets peuvent disparaître en franchissant les contrôles de sécurité.
© AFP
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Airport theft complaint process is convoluted - CNEWS - Canoe.ca
Canadian Air Transport Security Authority officials acknowledge that the claims process for passengers who've been robbed at airport screening stations can seem "convoluted," government documents show.That's because screening officers and their bosses - who work for private security firms, but wear CATSA uniforms - are not supposed to take public complaints, but sometimes do, confusing passengers, who actually must complain in writing to CATSA officials to guarantee a review and response.
So, here's what you should do if you believe an item was stolen during a security screening in Canada:
Airport theft complaint process is convoluted - CNEWS - Canoe.ca
Photo: Passengers walk into one of the Security Screening Points at the Calgary International Airport Wednesday August 25, 2010. (Jim Wells/ QMI Agency file photo)
Thursday, July 21, 2011
Enquête municipale: dépenses douteuses du parti au pouvoir à Laval scrutées
LAVAL - Au cours des quatre dernières années, le parti PRO des Lavallois du maire Gilles Vaillancourt a facturé aux contribuables de Laval l’utilisation de deux entreprises de déchiquetage, chargées de détruire plus de six douzaines de boîtes de dossiers et de documents de son parti politique, a appris l’Agence QMI.
Lire le dossier d'enquête d'Andrew McIntosh et Kinia Adamczyk sur canoe.ca
Lire le dossier d'enquête d'Andrew McIntosh et Kinia Adamczyk sur canoe.ca
Thursday, June 23, 2011
25 M $ de contrats à Dunton Rainville
Une enquête de Andrew McIntosh et Kinia Adamczyk - juin 2011
Depuis 1999, le cabinet d’avocats Dunton Rainville a remporté cinq contrats de plus de 25 M$ pour la gestion des ressources humaines et pour des services juridiques lors de ce qui semble être – à première vue – un processus public d’appel d’offres... Plus dans le Journal de Montréal
L'opposition réclame plus de transparence de l'administration ...
Deux employés de Dunton Rainville proches du maire Vaillancourt ...
Depuis 1999, le cabinet d’avocats Dunton Rainville a remporté cinq contrats de plus de 25 M$ pour la gestion des ressources humaines et pour des services juridiques lors de ce qui semble être – à première vue – un processus public d’appel d’offres... Plus dans le Journal de Montréal
L'opposition réclame plus de transparence de l'administration ...
Deux employés de Dunton Rainville proches du maire Vaillancourt ...
Thursday, April 28, 2011
Une étudiante perd sa cause contre le Barreau du Québec
Kinia Adamczyk, Agence QMI. 27/04/2011
Une étudiante en droit, qui a intenté une poursuite contre le Barreau du Québec afin d’obtenir les copies de ses examens corrigés dans le but de comprendre son échec, a perdu sa bataille en Cour d’appel du Québec.
La Montréalaise Meena Khan a néanmoins gagné une victoire morale importante cette semaine, lorsque la Cour d’appel a statué qu’elle aurait dû, à tout le moins, être en mesure de prendre des notes lorsqu’elle a révisé ses examens corrigés. Plus sur CANOE
Une étudiante en droit, qui a intenté une poursuite contre le Barreau du Québec afin d’obtenir les copies de ses examens corrigés dans le but de comprendre son échec, a perdu sa bataille en Cour d’appel du Québec.
La Montréalaise Meena Khan a néanmoins gagné une victoire morale importante cette semaine, lorsque la Cour d’appel a statué qu’elle aurait dû, à tout le moins, être en mesure de prendre des notes lorsqu’elle a révisé ses examens corrigés. Plus sur CANOE
Wednesday, April 27, 2011
Le fisc saisit 728 338 $ en argent et une Rolls Royce
Andrew McIntosh et Kinia Adamczyk/Agence QMI
MONTRÉAL – Un homme d’affaires qui a érigé devant son domicile de Lorraine cinq drapeaux canadiens en berne et à l’envers afin de dénoncer le « terrorisme gouvernemental » dont il se dit victime devrait 1,5 million $ au fisc québécois, selon des affidavits à la cour. Cette dette s’ajoute aux 1,8 million $ que Michael Chamas doit au gouvernement fédéral, selon ce qu’affirment des vérificateurs et des enquêteurs de l’impôt dans des affidavits déposés en Cour fédérale. Plus sur CANOE
Thursday, March 03, 2011
La municipalité de Sainte-Monique critiquée par Québec
(Agence QMI)
Andrew McIntosh et Kinia Adamczyk
MONTRÉAL - Le ministère des Affaires municipales du Québec a vivement critiqué la municipalité de Sainte-Monique et ses dirigeants à la suite d’une série d'irrégularités. Le secrétaire général du ministère, Jean Dionne, a fait parvenir à la petite municipalité un rapport de deux pages critiquant ses gestionnaires dans l'attribution d'un contrat.
Andrew McIntosh et Kinia Adamczyk
MONTRÉAL - Le ministère des Affaires municipales du Québec a vivement critiqué la municipalité de Sainte-Monique et ses dirigeants à la suite d’une série d'irrégularités. Le secrétaire général du ministère, Jean Dionne, a fait parvenir à la petite municipalité un rapport de deux pages critiquant ses gestionnaires dans l'attribution d'un contrat.
Thursday, February 24, 2011
Un trésor de guerre électoral de 1,3 million $
(Agence QMI) - Version originale sur canoe
Andrew McIntosh et Kinia Adamczyk
LAVAL – Le maire de Laval Gilles Vaillancourt et son Parti PRO des Lavallois, sont assis sur un trésor de guerre électoral de 1,3 million $, grâce notamment à l'appui financier de généreux patrons de l’industrie locale de la construction, montre une étude de l’Agence QMI.
Le surplus de 1,3 million $ est révélé dans les états financiers détaillés que le Parti PRO des Lavallois a déposés auprès du gouvernement du Québec.
Comme dans d'autres villes et villages de partout au Québec, les partisans du maire de Laval comptent plusieurs donateurs dont les entreprises ont des contrats lucratifs avec la ville.
Le maire Vaillancourt, qui est au pouvoir depuis 1989, a dirigé Laval alors que la ville a connu un intense développement au cours des 22 dernières années, devenant l'une des villes les plus importantes du Québec.
Sa population atteint maintenant 395,000 personnes.
Andrew McIntosh et Kinia Adamczyk
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| Le maire de Laval, Gilles Vaillancourt. © Agence QMI |
Le surplus de 1,3 million $ est révélé dans les états financiers détaillés que le Parti PRO des Lavallois a déposés auprès du gouvernement du Québec.
Comme dans d'autres villes et villages de partout au Québec, les partisans du maire de Laval comptent plusieurs donateurs dont les entreprises ont des contrats lucratifs avec la ville.
Le maire Vaillancourt, qui est au pouvoir depuis 1989, a dirigé Laval alors que la ville a connu un intense développement au cours des 22 dernières années, devenant l'une des villes les plus importantes du Québec.
Sa population atteint maintenant 395,000 personnes.
Tuesday, February 15, 2011
Union leader was convicted drug producer
February 10, 2011
By Andrew McIntosh and Kinia Adamczyk, QMI Agency
MONTREAL — A plumber hired to lead a Quebec construction union local in 2006 was convicted in 2003 of running a clandestine marijuana grow operation that was shuttered after a Montreal Urban Community Police raid, a QMI Agency investigation has found.
By Andrew McIntosh and Kinia Adamczyk, QMI Agency
MONTREAL — A plumber hired to lead a Quebec construction union local in 2006 was convicted in 2003 of running a clandestine marijuana grow operation that was shuttered after a Montreal Urban Community Police raid, a QMI Agency investigation has found.
Monday, February 07, 2011
Zambie: adrénaline au cœur de la «vraie» Afrique
Kinia Adamczyk – Agence QMI
La Zambie, avec ses 12 millions d’habitants et l’anglais comme langue principale, est un arrêt de prédilection de l’Afrique «pour les débutants». C’est un des pays les plus stables et les plus sécuritaires du continent, offrant une panoplie d’activités en plein air pour des tempéraments autant calmes qu’aventureux
Pour amorcer une journée de vacances en Zambie avec une bonne dose d’adrénaline, une descente en rafting sur le Zambèze fait parfaitement l’affaire. Sur une douzaine de rapides portant des noms aussi évocateurs que «Terminator» et «la machine à laver», les voyageurs vivent une aventure authentique au cœur d’un pays que ses habitants se plaisent justement à nommer «The Real Africa», la vraie Afrique.
Cette activité pour les amateurs d’émotions fortes constitue un prélude de choix à une croisière plus paisible, au coucher du soleil, sur le même cours d’eau. Girafes, crocodiles, hippopotames et peut-être même quelques éléphants seront au rendez-vous lors de cette expédition paisible. À bord, un bar ouvert accompagné de plats typiques rend les convives bavards et détend après une journée à pagayer dans les flots de la rivière agitée à certains endroits, et qui constitue la frontière australe de la Zambie avec le Zimbabwe.
SUITE
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| Les rapides du Zambèze semblent imposants, mais un travail d'équipe permet de les affronter avec succès! |
Pour amorcer une journée de vacances en Zambie avec une bonne dose d’adrénaline, une descente en rafting sur le Zambèze fait parfaitement l’affaire. Sur une douzaine de rapides portant des noms aussi évocateurs que «Terminator» et «la machine à laver», les voyageurs vivent une aventure authentique au cœur d’un pays que ses habitants se plaisent justement à nommer «The Real Africa», la vraie Afrique.
Cette activité pour les amateurs d’émotions fortes constitue un prélude de choix à une croisière plus paisible, au coucher du soleil, sur le même cours d’eau. Girafes, crocodiles, hippopotames et peut-être même quelques éléphants seront au rendez-vous lors de cette expédition paisible. À bord, un bar ouvert accompagné de plats typiques rend les convives bavards et détend après une journée à pagayer dans les flots de la rivière agitée à certains endroits, et qui constitue la frontière australe de la Zambie avec le Zimbabwe.
SUITE
Un grand entrepreneur poursuit Hydro-Québec
Andrew McIntosh et Kinia Adamczyk
Agence QMI
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| Hydro-Québec n’aurait pas évalué correctement les conditions de roc avant les travaux effectués à la centrale de Pérobonka, ce qui aurait engendré des coûts supplémentaires. (Photo: Reuters) |
Un grand entrepreneur en construction de Chicoutimi dit qu’Hydro-Québec refuse de payer la somme de 16,6 millions $ pour du travail effectué à la centrale de Péribonka entre 2005 et 2007. Il entreprend maintenant un recours judiciaire pour se faire payer.
Hydro-Québec n’aurait pas évalué correctement les conditions de roc avant les travaux effectués à la centrale de Pérobonka, ce qui aurait engendré des coûts supplémentaires. (Photo: Reuters)Dans des documents déposés en Cour supérieure du Québec, Inter-Cité Construction ltée (ICCL) reconnaît avoir subi des délais et des coûts supplémentaires sur ce projet d’envergure, mais l’entreprise blâme les fonctionnaires d’Hydro-Québec responsables du contrat et les ingénieurs pour avoir donné des informations inexactes sur le type de roche sur le site du barrage.
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